Bonjour, et bienvenue dans ce trente quatrième article du "Journal d'une agoraphobe".

On continue ensemble notre défi JANVOIX, un article par jour tout au long du mois de janvier, avec chaque fois une petite contrainte originale.
Mais pas de panique, ma mission reste la même : partager avec vous mon parcours de guérison. Si mes expériences peuvent vous inspirer, vous donner des pistes ou, mieux encore, vous pousser à briser le silence sur ces sujets encore bien trop tabous, alors j’aurai atteint mon objectif.
La contrainte du jour est plutôt stimulante : “Invite quelqu’un d’un autre pays pour discuter d’un sujet qui vous connecte.”
Pour cet article, j’avais imaginé une interview hyper intéressante avec une psychologue suisse. Je voulais explorer avec elle les différences entre la formation et la pratique de la psychologie en Suisse et en France. C’est toujours fascinant de voir comment les choses se passent ailleurs. Malheureusement, nos agendas respectifs n’ont pas permis de caler un créneau.
Mais pas de panique, je ne vais pas abandonner cette idée ! Aujourd’hui, je vais vous partager les questions que j’aurais aimé lui poser. Et si vous êtes un psychologue suisse — ou un psychologue francophone travaillant hors de France — n’hésitez surtout pas à me contacter ! Je rêve de réaliser cette interview et je suis persuadée que ce genre d’échange serait passionnant pour vous, mes lecteurs.
Voici donc les questions que j’aurais voulu poser :
Des questions sur la formation :
– Combien d’années d’études faut-il pour devenir psychologue en Suisse ?
– Les étudiants en psychologie se spécialisent-ils dès le début ou plus tard, comme en France ?
– Si un psychologue suisse souhaite exercer en France, est-ce facile ? Et dans l’autre sens, pour un psychologue français en Suisse ?
Des questions sur la pratique :
– Les patients suisses consultent-ils plus ou moins facilement qu’en France ?
– Les consultations psychologiques sont-elles remboursées par l’assurance de base ou est-ce encore perçu comme un “luxe” ?
– Le système d’accès à un psychologue est-il plus rapide ou plus simple qu’en France ? (En France, par exemple, on peut attendre un mois pour un rendez-vous.)
Des questions sur les tendances et évolutions :
– Y a-t-il encore des tabous autour de la consultation d’un psychologue en Suisse ?
– Existe-t-il beaucoup de collaboration entre les psychologues et d’autres professionnels comme les médecins généralistes, les psychiatres ou les enseignants ?
Et la question bonus :
– Avez-vous une anecdote ou une expérience qui illustre une spécificité suisse dans la pratique de la psychologie, par rapport à la France ?
Alors voilà, c’était mon plan pour cet épisode, même si l’interview n’a pas pu se faire… pas encore, en tout cas ! Et si vous êtes un psychologue francophone travaillant hors de France, que ce soit en Suisse, en Belgique, au Canada ou ailleurs, je serais ravie de discuter avec vous. Je suis convaincue que mes lecteurs seraient curieux de découvrir ces différences de pratique, de perception et même de culture autour de la psychologie dans différents pays.
J’espère que cet article vous a plu et que, peut-être, il ouvrira des portes vers des interviews enrichissantes à l’avenir. Comme toujours, si vous avez aimé, pensez à vous abonner, à laisser une note ou un commentaire. Ça m’encourage énormément et ça me motive à continuer.
Merci encore pour votre lecture, et je vous dis à demain pour la suite du défi JANVOIX !
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