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Le jour où j’ai compris que je m’auto-sabotais


Bonjour, et bienvenue dans ce 28ème article du "Journal d'une agoraphobe" !


On continue ensemble le défi JANVOIX : un article par jour tout au long de janvier, avec chaque jour une petite contrainte originale. Mais pas de stress, ma mission reste la même : vous partager mon parcours de guérison pouvant offrir quelques pistes à un certain nombre d’entre vous et contribuer à libérer la parole sur un sujet qui stigmatise encore trop de personnes…


Alors, la contrainte du jour, c’est de partager une petite victoire personnelle ou professionnelle récente.


Sauf que… bon, vous commencez à me connaître, je vais un peu bidouiller la consigne.


Pourquoi ? Parce que pour rester fidèle à ma démarche, j’intègre ces contraintes dans le fil de mon histoire, et je respecte la chronologie. C’est hyper important pour moi de ne pas tout mélanger. Du coup, la petite victoire dont je vais vous parler aujourd’hui… eh bien, elle date de quelques années. Mais vous allez voir, elle a son importance !


À ce moment-là, j’étais en plein dans ma quête de développement personnel. J’enchaînais les bouquins. Je pense que si on avait fait un marathon des livres de self-help, j’aurais décroché la médaille d’or. Alors bien sûr, tout n’était pas bon à prendre, mais j’y piochais plein d’idées, des concepts, des outils. Mais voilà le hic : lire, c’est une chose, appliquer, c’en est une autre. Et spoiler alert : c’est là que ça se complique.


Dans beaucoup de ces bouquins, il y avait une idée qui revenait sans cesse : les messages qu’on envoie à son subconscient, ça conditionne nos comportements.


En gros, ce qu’on se répète intérieurement, ça façonne notre réalité. Et là, ça a fait tilt. J’ai enfin compris que mon subconscient était une sorte de disque dur saturé de messages hyper négatifs. Ces angoisses, ce sentiment d’insécurité qui me tombent dessus sans prévenir… eh bien, tout ça venait de là.


C’est là que je me suis dit : "Ok, si mon logiciel interne bugue, il faut carrément tenter de le reprogrammer." Alors oui, facile à dire, je sais, mais cette prise de conscience a tout changé. J’ai réalisé que je passais mon temps à voir des problèmes qui n’existaient même pas. Vous savez, certains voient des éléphants roses ? Moi, je voyais des scénarios catastrophes partout. Tout était un potentiel danger, une source d’angoisse. Bref, je m’empêchais littéralement de vivre à cause de ça.


Et ce jour-là, j’ai eu comme une petite lumière qui s’est allumée : je pouvais commencer à travailler sur ce fameux logiciel défectueux. Est-ce que c’est simple ? Non. Mais est-ce que ça donne de l’espoir ? Carrément.


Alors voilà, ma victoire, c’est cette compréhension-là : que pour avancer, je devais changer la façon dont je voyais les choses, retravailler mon subconscient, reprogrammer mon esprit. Une toute petite étape, mais qui a été un énorme déclic pour moi.


Si ce message vous parle, si vous aussi vous luttez avec votre "logiciel interne", sachez qu’il y a des pistes. Ce n’est pas une fatalité.


Sur ce, si cet article vous a plu, n’hésitez pas à laisser une note, un petit commentaire, ou à vous abonner à la newsletter. C’est grâce à vous que je trouve l’énergie de continuer ce défi jour après jour !


Merci pour votre lecture, prenez soin de vous, et je vous retrouve demain pour un nouvel épisode du défi JANVOIX.



 
 
 

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